Eté 1984, alors que la scène punk-rock est quasiment inexistante en Iparralde, Henri Elgart, Joël Arcondéguy et Alain Cazenave décident de monter un groupe sur Ciboure, de faire un concert et de splitter. Reste maintenant à fédérer autour de cette idée une rythmique. Alain Daguerre tiendra la basse et Nicky, la batterie.

La structure était créée, le nom s’imposera de lui-même du fait de l’actualité brulante sur le Liban.
Le bar Bittor à Ciboure était devenu le quartier général du groupe et notre point communication.
Les répétitions s’enchainent et le premier concert de Beyrouth-ouest sera donné au Club Léo Lagrange de Ciboure. Onze morceaux, des textes inspirés de la vie locale et de la situation politique de l’époque.
Après ce premier essai réussi, le groupe décide de continuer et se dote d’un nouveau batteur Philippe Lurie.

Le groupe puise ses influences dans le punk 77, aussi bien Américain, comme les Ramones ou les Dead Kennedys, ou Anglais, comme le Clash ou les Sex Pistols. 

Une ultime reformation, en 2015, leur permettra de remonter sur scène.
Les différentes formations jusqu’à aujourd’hui.